Poste de direction de tir de type R.336 touché par une bombe américaine.
Le poste de direction de tir accueille 2 officiers
commandant la batterie et communément 9 soldats. Le blockhaus dispose
d'une salle d'observation qui s'ouvre côté mer. Sur la photo l'ouverture
béante est le résultat de l'explosion. Le champ d'observation original
est une ouverture périphérique au ras du sol de 30 cm de hauteur environ.
Une salle de transmissions, une salle de renseignements et une salle de
calculs, constituent les trois pièces en arrière de la salle d'observation.
L'accès se fait par un couloir descendant par escalier et protégé par
une fenêtre de tir blindée au cas ou un intrus tenterait de forcer le
passage. Les officiers y reçoivent les ordres par radio. Ils recueillent
les mesures télémétriques des différents points de mesure de la batterie
dont le principal est tout proche de la casemate. Ils diffusent les ordres
avec les coordonnées de tir aux pas de tir des canons qui se règlent en
fonction des indications. Un poste peu armé mais qui détruit peu rendre
une batterie inopérante pendant une courte durée. Un temps parfois suffisant
pour attaquer. Ce modèle de poste d'observation se retrouve aussi en Norvège
sur les côtes... Un même plan, pour une même fonction, pour ce Leitstand
R.636, la défense côtière du mur de l'Atlantique. Le blockhaus était recouvert
d'un filet de camouflage.
Dans l'une des pièces, parmi les graffitis contemporains, une fenêtre peinte en trompe l'oeil par les soldats allemands, coutumiers du fait, qui recherchaient l'espace qu'ils perdaient en vivant terrés dans des pièces exiguës sans ouvertures si ce n'est qu'une gaine de ventilation. Certaines peintures tellement détaillées ne sont pas sans rappeler l'art des peintures murales bavaroises.
Dans cette pièce quelques détails : Du câble électrique en haut à droite. Des peintures rouges en plinthes et en hauteur, Plafond en poutrelles métalliques recouvertes par le béton extérieur pour éviter le décoffrage. Souvent à peine sèches les structures de défense étaient mises en service.
Derrière ce volet coulissant blindé (un créneau de défense intérieure modèle 483P2), l'escalier d'accès au blockhaus R.636. Un accès à une casemate se fait souvent par un couloir sas qui permet de filtrer les venues extérieures. Un escalier puis un couloir perpendiculaire dont les extrémités ouvrent sur une ou plusieurs portes blindées.
La Pointe du Gouin est magnifique, chaque jour des promeneurs
suivent le GR34 pour se diriger vers la Pointe du Toulinguet qui n'est
pas moins belle. Une promenade à faire absolument ! Vue imprenable sur
l'entrée du goulet de Brest, Pointe Saint Mathieu en vue par temps clair.
Air vivifiant assuré.
Oui mais voilà, il y a des trous et du béton partout... Le promeneur est
sur un secteur défensif implanté par l'armée française pour des affaires
de débarquement probable. Sans doute pas le débarquement auquel vous pensez
mais à celui que Louis XIV songeait. La coalition anglo-hollandaise pouvait
avoir quelques velléités à vouloir rendre visite aux Camarétois fin du
XVII ème siècle. La première batterie du Gouin fut une batterie de mortiers
installée par Vauban pour protéger le goulet de Brest mais aussi l'anse
de Camaret. De cela il ne reste rien.
L'armée française avant la seconde guerre mondiale se contente de faire
de ce point stratégique un lieu de surveillance avec un projecteur et
un équipement d'écoute radio.
En 1942, l'armée allemande d'occupation reconsidère les lieux et les aménagent
avec des moyens qui semblent sans limites. Le béton coule à flot, des
tonnes de ferraillages sont utilisés. La batterie du Gouin sort de terre.
Une voie ferrée la dessert. Les pas de tir des canons de 220mm sont immenses
et agrémentés de casemates pour la gestion des projectiles, des poudres
et des personnels servants. Chaque cuve est "livrée" avec des toilettes...
Chaque cuve est protégée par de la défense anti-aérienne constituées de
canons de 2cm (certains de ces canons légers étaient simplement protégés
par un parapet en bois) et des canons de 7,5cm en encuvement en béton
dont certains subsistent aujourd'hui.
Un réseau de tranchées, encore visible, permettait aux soldats de passer
d'un point à un autre sans risquer un quelconque mitraillage. Des tranchées
qui n'ont rien à voir avec Verdun. La tranchée permet le passage d'un
seul homme.
Il faut compter 200 artilleurs plus des troupes de défense du site. Le
plus haut grade présent était celui de capitaine, commandant la batterie
qui ressemblait à petit village avec ses cuisines, ses réserves d'eau,
son infirmerie...
Aujourd'hui la végétation enveloppe pour grande part le dispositif de
guerre qui a subi les bombardements américains précédant la libération
de la presqu'île. Les détails de la batterie se découvrent avec un peu
de curiosité, pour ce qu'il en reste...
Les cratères des bombes attestent d'un pilonnage intensif : des pièces
d'artilleries ont été touchées ou détruites. La batterie n'a jamais servi
pour la tâche qui lui était attribuée. Empêcher des navires de guerre
alliés de faire une intrusion dans le port de guerre de Brest tenu par
les Allemands. Les canons avaient une portée de 22km, ils devaient détruire
une flotte approchante.
Le dispositif anti-aérien quant à lui a probablement servi à défendre
les airs contre les passages incessants des avions de la RAF provenant
du Sud de l'Angleterre et dont la mission était de détruire la marine
allemande stationnée à Brest. Croiseurs et sous-marins de la Kriegsmarine
ont verrouillé la Manche durant de long mois.
L'arrière, côté terre, de la casemate R.636 avec un poste de défense individuel qui devait être tenu par un soldat équipé d'une mitrailleuse. Le chemin descendant à l'escalier d'entrée accompagné d'une fenêtre de tir rasant sur la gauche. A partir de l'une des pièces intérieures, un soldat pouvait faire feu sur les indésirables avant qu'ils ne se lancent dans l'escalier descendant.
Le canon de 2cm Flak (abréviation de Fliegerabwehrkanone) 38 de fabrication Mauser appartient à la génération de défense antiaérienne du début de la seconde guerre mondiale. Un servant de tir s'assoit sur un siège, utilise une lunette de visée ou un simple croisillon de visée. Le canon posé sur un trépied bas a une capacité de rotation infinie dans tous les axes. L'artilleur a pour mission de suivre les avions en vol et de faire feu aussi souvent que possible.
La batterie du Gouin aurait été équipée de 5 canons de 2cm Flak 38 répartis sur toute la batterie pour faire face à une attaque de l'aviation alliée. Le canon pouvait être monté sur roues pour être déplacé et remorqué. Cette batterie semble être la mieux équipée par ce canon de fabrication récente (1939), la plupart des batteries en Presqu'île de Crozon utilisaient encore le Flak 30, voire quelques Flak 29.
Dans le courant de la guerre, les blindages des avions se sont épaissis et le calibre de 2cm s'est avéré souvent insuffisant pour occasionner des dégâts irrémédiables malgré ses 420 coups/minute. Les Allemands vont opter pour deux formules. Un canon à 4 fûts de 2cm chacun pour augmenter la puissance de tir (un canon qui fut très répandu mais qui nécessitait 9 personnes pour être en pleine capacité de tir) et plus simplement l'augmentation du calibre dans d'autres versions d'armement.
Un encuvement en béton d'un canon 2cm Flak 38 de la batterie du Gouin (Camaret) avec son piédestal triangulaire et les trois empreintes circulaires qui bloquaient le piétement du canon. Dans les niches périphériques étaient entreposées une première réserve de munitions dans des magasins prêts à l'emploi. A noter que les servants d'artillerie n'avaient aucune protection. Même si certaines versions du canon étaient équipées d'un blindage sommaire. Le parapet de l'encuvement fait 80cm à peine. Tous les canons d'artillerie antiaérienne de 2cm ne bénéficiaient pas de cette structure en béton. Le bois était utilisé, comme des sacs de sable parfois.
La batterie du Gouin en Camaret-sur-Mer était équipée de
huit canons de 7,5cm Flak M32(f). Des canons plus puissants que les 2cm
Flak 38, disposés resserrés en deux groupes. Un groupe de 5 canons antiaériens
orienté Nord en direction du Goulet de Brest sans encuvement au coeur
de la batterie. Ces canons étaient en position dite de campagne, c'est
à dire sans aménagement en dur. Un autre groupe de 3 canons avec un encuvement
chacun avaient pour orientation de base l'anse de Camaret et son accès.
Ces encuvements en béton étaient reliés par des tranchées sommaires.
7.5cm est le calibre. Flak a dans ce contexte le sens de "antiaérien".
M32 désigne le modèle de 1932. (f) est l'appellation de ce canon d'origine
française de la marque Schneider. Ce canon a subi des modifications annuelles
en cette période entre deux guerres. Il est donc décliné sous de nombreuses
versions très proches les unes des autres. Une portée de 8 km, une cadence
de tir de 25 coups par minute, une rotation de 360°, une élévation de
-5° (0° position horizontale) à 70°. Le Modèle de 1939 atteindra les 90°
(verticalité).
Ce canon perçait les blindages des avions et avait pour tirs privilégiés
les tirs de moyenne à longue portée. Le canon de 2 cm quant à lui était
plus performant sur des courtes distances avec une mobilité plus rapide.
L'un des trois encuvements en béton d'un canon 7.5 cm Flak M32 (f) de la batterie du Gouin. En premier plan, l'entrée. Au centre, le support de la platine du canon. Des niches dans le parapet pour recevoir les munitions, les poudres, pour une première phase de tirs. Au fond, à gauche, une dalle en béton qui recevait un projecteur de 60cm pour suivre les avions la nuit.
Une tranchée d'accès à l'encuvement, le projecteur sur la pointe rocheuse à gauche.
Les canons de 22 cm K.532 (f) d'une portée de 22,8 km étaient
des canons français Schneider de 1917 installés dans des encuvements géants
de 55 m de long et de 11 m de large pour le terre-plein central en plan
incliné qui desservait sur le flanc gauche la soute à obus et un abri
pour les personnels (Regelbau 502 pour 24 hommes ou 501 pour 12 hommes)
et des latrines complètement à l'opposé de la plate-forme circulaire de
tir de 7 m de diamètre. Sur le flanc droit, la soute à gargousses et un
abri pour les personnels (Regelbau 501). La batterie est donc semi-enterrée
et rien ne dépassait du niveau du sol si ce n'est que les bouches des
canons lors des tirs destinés à empêcher l'intrusion de navires de guerre
alliés dans le goulet pour détruire le port militaire de Brest.
Sur les 4 encuvements d'origine, seuls deux sont encore visibles par satellite.
Un troisième encuvement plus au Sud est recouvert par la végétation. Quant
au quatrième encuvement, il aurait été détruit à la fin de la guerre sous
les bombardements américains.
Autre dénomination : canon de 220 mm L mle 1917. L pour long. mle pour
modèle. 1917 année de construction des premiers tubes. Le canon a subi
une modernisation en 1931.
48 canons de 22 cm furent réquisitionnés par l'armée allemande en 1939,
ils équipaient les 173 et 174ème régiments d'artillerie français et étaient
destinés à la défense fixe de forteresse tant ils étaient monumentaux.
Tube de 7.67m. Poids de 25,88 tonnes sans équipement de roulement. Les
4 canons de Camaret de la batterie du Gouin ont été amenés par train sur
place. Quelques exemplaires ont été versés dans l'armée italienne sous
la designation de cannone da 220/32 Mod. 1917.
L'un des 4 encuvements du canon de 22 cm avec un alignement de 55 m en profondeur à l'arrière de la pièce.
Les soutes.
Les bunkers pour les servants de tir.
Un bunker R.641 est "inséré" dans le décor sur trois de ses côtés. La façade quant à elle est dégagée suffisamment pour la circulation des munitions et des personnels.
Le plan allemand du R.641
Une des deux soutes.
La seconde soute identique avec un plafond en poutrelles métalliques.
Un couloir qui dessert les deux salles. En haut d'une des portes d'une soute ce qui semble être les traces d'une explosion interne au blockhaus. Le plafond descend.
L'empreinte d'un des dormants de porte des soutes.
Une gaine de ventilation sans sa pompe à air.
Le bunker R641 (Regelbau Munitionsunterstand III – L 18m x l 13,60m x H 5m) était un dépôt de munitions composé de deux salles identiques desservies par deux couloirs. Des murs épais de 2m tout comme le toit. La casemate R641 de la batterie du Gouin est installée perpendiculairement à la voie ferrée allemande (aujourd'hui disparue mais dont le tracé subsiste). L'utilité était basée sur le stockage de 300 obus et leurs gargousses. Ces obus étaient destinés aux 4 canons de 22 cm qui défendaient l'entrée maritime du goulet de Brest. Ce blockhaus avait un poste de tir inclus dans son toit duquel une sentinelle pouvait faire feu sur la position sur 360°.
Le projecteur de petite taille était manipulé par un soldat assis sur un siège. La nuit, dès que l'aviation britannique survolant Brest avec l'intention de détruire le port militaire, le soldat allumait son projecteur pour éclairer le ciel. Une fois croisé par le faisceau lumineux, l'avion était suivi. Toutes les batteries antiaériennes de la Marine Flak en presqu'île (artillerie de marine de défense côtière) avaient ce projecteur de base ainsi que bien souvent un autre de 120 ou 150 cm. L'activité de bombardement étant généralement nocturne, un éclairage s'avérait nécéssaire afin que les télémètres puissent calculer les distances envers l'escadrille en vol afin de régler les canons.
L'abri en béton pour le groupe électrogène.
L'empreinte du projecteur sur le béton de la plateforme.
Vue imprenable sur l'entrée du Goulet de Brest et sur le passage des bombardiers.
Sans doute le site le plus accessible qui montre au
public la disposition d'un Flak-Sw36 se situe à Camaret-sur-Mer. Un projecteur
de DCA de 60 cm était installé à la pointe du Gouin sur une plate-forme
en béton dont il reste les vestiges. Trois canons antiaériens Flak 7,5cm
K.97 et un canon Flak 2cm faisaient feu sur la cible. Ceux-ci étaient
positionnés derrière le projecteur à quelques dizaines de mètres.
Le petit bâtiment rudimentaire qui accompagne le projecteur servait d'abri
pour ce militaire ainsi que d'abri pour le groupe électrogène d'alimentation.
Le site est situé dans un lieu panoramique exceptionnel sur le GR34.
Une batterie côtière lourde composée de plusieurs canons
de gros calibres auxquels il faut ajouter l'équipement de défense antiaérienne
et ses servants de tirs, puis la ligne de défense terrestre d'infanterie
qui entoure le site sans oublier les personnels techniques et sanitaires,
exige des cuisines et un réfectoire d'une ampleur adaptée.
Ce stützpunkt (codé Cr4) comptait plusieurs centaines de soldats allemands
affectés. Les soldats de service en batterie prenaient trois repas par
jour dans les salles de leur cantine.
Dans la plupart des cas en presqu'île de Crozon les « kantines » sont
des baraquements en bois. Ici, à l'Ouest du corps de garde type 1846 de
Camaret-sur-Mer, soit au Sud de la batterie lourde de la pointe du Gouin
construite en 1942, le bâtiment visible de la plage du Corréjou est cimenté.
Une construction néanmoins légère qui peut parer à quelques éclats de
bombes, et encore...
Cette cantine allemande voyait arriver les victuailles par train car une
voie de chemin de fer livrait canons, munitions et l'intendance directement
à son pas de porte. La construction est à tous vents et conserve un évier
en béton.
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